Alex Schneider
Sahra Wagenknecht: Abrechnung mit den Linksliberalen
Sahra Wagenknecht: Haben die „Lifestyle-Linksliberalen" die Geringverdienenden aus den Augen verlore
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JA zum PMT-Gesetz: Zwischen Rechtsstaat und Terrorbekämpfung
„Das Strafrecht entfaltet idealerweise auch eine präventive Wirkung: ein möglicher Täter verzichtet aus Angst vor den Konsequenzen auf die Verübung einer straf
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Employer of Last Resort
Employer of Last Resort als neuer 'New Deal': Gedanken zur TürkeiIlker Aslan, in Ökonomenstimme vom 1. April 2021Vollbeschäftigung wird von den politischen
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IV-Gutachten: Bund verschärft Kampf gegen schwarze Schafe
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Globale Mindestbesteuerung: Andere Vorteile pflegen
„Die Schweiz hat seit der Gründung des Bundesstaates den Steuerwettbewerb laufend mit wirksamen Instrumenten eingeschränkt. Die Bestrebungen der in­
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Explication du graphique est des dimensions
Position politique en détails
Question |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
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Le droit de vote actif doit être abaissé de 18 à 16 ans. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
3 |
Au moins un tiers des postes de cadres dans l’administration fédérale doit légalement être occupé par une femme. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
4 |
Il doit être interdit aux agents de la fonction publique en contact avec la population de porter des symboles religieux (crucifix, kipas, foulards, etc.). |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
5 |
Les partis doivent être tenus de divulguer les dons et les contributions supérieurs à 10 000 francs suisses. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
6 |
La dissimulation du visage et le voile intégral doivent être interdits dans toute la Suisse. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
7 |
En cas d’actes délictueux, une détention provisoire doit davantage être prononcée plutôt qu’un travail d’intérêt général et des sanctions pécuniaires. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
8 |
Les personnes qui menacent la sécurité helvétique doivent pouvoir être expulsées, y compris lorsque la sécurité de cette personne ne peut être garantie dans le pays d’expulsion. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
9 |
La police doit davantage être équipée de caméras corporelles « Body-Cams » qui empêchent les agressions des agents de police et doivent constituer un moyen de preuve manifeste. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
10 |
L’armée doit faire l’acquisition de nouveaux avions de combat et de missiles de défense contre avions d’un montant de 8 milliards de francs suisses. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
11 |
Les femmes doivent également faire leur service militaire, civil ou protection civile dans le futur. |
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Questions à propos de Sécurité publique & système judiciaire | ||||||
12 |
Il faut stopper le départ des appelés ayant l’obligation de servir de l’armée au service civil, en rendant entre autres le service civil moins attrayant. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
13 |
La Confédération doit disposer davantage de fonds pour l’intégration des jeunes étrangers. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
14 |
La Confédération doit renforcer les contrôles frontaliers dans le trafic ferroviaire. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
15 |
Les diplômé(e)s formé(e)s en Suisse, originaires d’États ne faisant pas partie de l’UE / l’Association européenne de libre-échange (AELE) ne doivent plus relever du contingent d’immigration pour les ressortissants de pays tiers . |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
16 |
La Suisse doit accueillir davantage de réfugiés provenant des zones de conflits. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
18 |
Les étrangers qui vivent en Suisse depuis 10 ans doivent jouir du droit de vote actif à l’échelle du canton. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
19 |
La Suisse doit postuler pour un siège non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
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Afin de conclure des accords de libre-échange avec de nouveaux marchés tels que l’Amérique du Sud et l’Asie du Sud-Est, la Suisse doit supprimer les obstacles économiques aux échanges (tels que les tarifs protecteurs) pour les produits agricoles importés. Les obstacles aux échanges ne doivent cependant être supprimés que pour les produits agricoles importés qui respectent les standards écologiques et des droits de l’homme. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
22 |
Le tribunal arbitral prévu dans l’accord-cadre entre la Suisse et l’UE pour régler les litiges doit se fonder sur la Cour de justice de l'Union européenne dans la mesure où les points litigieux concernent le droit de l’UE. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
23 |
Pour maintenir les mesures visant à protéger les salaires et les conditions de travail (appelées mesures d’accompagnement), la Suisse ne doit pas signer l’accord-cadre institutionnel et accepter que l’accord relatif aux obstacles techniques au commerce (MRA)
ne soit pas renouvelé. |
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Questions à propos de Politique étrangère et intégration des étrangers | ||||||
24 |
Un nouveau milliard en faveur de la cohésion ne doit être versé à l’UE que si celle-ci renonce aux mesures discriminatoires à l’encontre de la Suisse, comme p. ex. la garantie réitérée de l’équivalence boursière et le renouvellement de l’accord relatif aux obstacles techniques au commerce (MRA) . |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
25 |
La Suisse doit décréter la vaccination obligatoire des enfants en âge d’aller à l’école maternelle. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
26 |
Tout type de publicité portant sur des produits à base de tabac ciblant les enfants et les adolescents doit être interdit. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
27 |
En Suisse, l’euthanasie active directe doit être autorisée par un médecin spécialement agréé. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
28 |
Un modèle de l’opposition doit être introduit dans le don d’organes. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
29 |
Davantage de personnes doivent avoir droit à une réduction des primes d’assurance-maladie. Pour ce faire, les cotisations fédérales et cantonales sont augmentées. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
30 |
Afin de réduire la prime obligatoire, le catalogue de prestations de la caisse-maladie obligatoire doit se limiter aux prestations vitales. Des assurances complémentaires peuvent être souscrites pour les autres prestations. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
31 |
La Confédération doit promouvoir la construction de logements à loyers modérés et ainsi mettre à la disposition des coopératives dans les nouvelles zones à bâtir au moins 30 % de la surface de plancher. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
32 |
La mesure d’incitation pour que les chômeurs trouvent un emploi doit être renforcée en réduisant le montant des indemnités de chômage en cas de période de perception prolongée. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
33 |
Une protection renforcée contre les licenciements doit être mise en œuvre à l’égard des salariés âgés de plus de 55 ans. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
35 |
Le taux de conversion de la prévoyance professionnelle doit être déterminé par la Commission de la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité de la Confédération en fonction de l’espérance de vie et des rendements moyens sur le marché des capitaux. |
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Questions à propos de Politique sociale et système de santé | ||||||
36 |
Les besoins de base pour les moyens de subsistance de l’aide sociale doivent être diminués. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
37 |
Les écolières et les écoliers doivent dans tous les cantons apprendre une langue nationale en tant que première langue étrangère. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
38 |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
39 |
Les performances des écolières et des écolières doivent être évaluées par des notes à partir de la 1ère année d’école primaire dans toute la Suisse. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
40 |
Les critères d’admission aux écoles cantonales doivent être renforcés. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
41 |
Afin de comparer la qualité des lycées à l’échelle de la Suisse, le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur par lycée doit être rendu public. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
42 |
Des emprunts à taux zéro doivent davantage être accordés aux étudiants des familles moins aisées à la place des bourses. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
43 |
Les parents qui utilisent l’offre des structures d’accueil de jour dans les écoles primaires doivent prendre en charge la moitié des frais au maximum. Les frais restants sont à la charge des cantons et des communes. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
44 |
La Confédération doit investir tous les ans environ 0,3 % du produit intérieur brut, soit 2 milliards de francs suisses afin de soumettre une offre publique coordonnée en coopération avec les cantons et les communes concernant la place d'accueil pour enfants en dehors du cadre familial à partir de 3 mois. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
45 |
La limite supérieure des frais déductibles pour la garde d’enfants par des tiers doit être revue à la hausse dans l’impôt fédéral direct, à savoir de 10 000 à 25 000 francs suisses. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
46 |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
47 |
Un congé parental de 12 semaines doit être introduit en plus du congé de maternité classique de 14 semaines. |
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Questions à propos de Politique familiale et politique de l'éducation | ||||||
48 |
La discrimination des couples mariés doit être abolie dans la mesure où ces derniers doivent régler un impôt plus élevé en vertu de l’imposition individuelle et de l’imposition commune. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
49 |
La Suisse doit investir tous les ans CHF 12 milliards de francs suisses supplémentaires dans les énergies renouvelables. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
50 |
Le marché de l’électricité doit être entièrement libéralisé afin que le consommateur final puisse choisir lui-même le fournisseur d’électricité sur le marché suisse. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
51 |
Le Conseil fédéral doit fixer les prix plafonds des frais de roaming. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
52 |
La Confédération doit fixer des normes minimales obligatoires concernant les mesures de cybersécurité pour les entreprises suisses. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
53 |
Les médias en ligne et papier doivent à l’avenir être soutenus à partir des ressources générées par la redevance radio et télévision lorsqu’ils fournissent des services publics à l’échelle locale ou régionale. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
54 |
À partir de 2030, plus aucun nouveau véhicule doté d’un moteur à combustion ne doit être mis en vente. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
55 |
En Suisse, les passagers aériens doivent régler une taxe CO2 sur les billets d’avion, indépendamment d’une telle mise en œuvre internationale. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
56 |
Outre les combustibles fossiles, d’autres carburants doivent être imposés par une taxe d’incitation. Les recettes doivent, à l’instar de la taxe d’incitation pour les combustibles, être réparties à égalité entre la population / les entreprises. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
57 |
En Suisse l’élevage intensif d’animaux doit être interdit. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
58 |
La Confédération doit soutenir financièrement l’utilisation des modèles de partage de véhicule. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
59 |
Afin de supprimer les problèmes de capacités et les passages étroits dans la circulation routière et ferroviaire, la Confédération doit introduire une tarification Mobilité qui augmentera le prix sur de nombreux trajets empruntés aux heures de pointe et diminuera le prix de ces derniers pendant les heures creuses et sur les axes secondaires. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
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L’abonnement général (AG) et l’abonnement demi-tarif doivent progressivement être remplacés par un abonnement avec réduction dans lequel la réduction en pourcentage sur les prix des tickets individuels augmente en fonction de l’utilisation. Ce qui permettra de baisser les prix des tickets ordinaires. |
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Questions à propos de Environnement, transports, énergie et communication | ||||||
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La Confédération doit soutenir financièrement le projet Cargo sous terrain. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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Les heures d’ouverture des magasins doivent être pleinement libéralisées en Suisse. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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L’interdiction des exportations de matériel d’armement vers les pays confrontés à des conflits armés doit être remplacée par un examen au cas par cas. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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L’ octroi de crédits et d’hypothèques doit être accordé à PostFinance. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
68 |
L’augmentation des dépenses du budget de la Confédération doit au maximum être égale à celle de la croissance économique. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
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Les personnes disposant d’un revenu brut supérieur à 250 000 francs suisses doivent payer des taux d’imposition plus élevés que ceux en vigueur actuellement, ce qui permettrait de réduire les taux d’imposition des personnes à plus faibles revenus (hausse de la progression de l’impôt). |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
70 |
La Confédération doit introduire des taux minimaux de taxation pour les impôts perçus sur les bénéfices (impôt sur les bénéfices) afin de réduire la concurrence fiscale intercantonale. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
71 |
La Confédération doit introduire l’échange automatique d’informations , y compris entre les banques nationales et les autorités fiscales pour les ressortissants suisses. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
72 |
La valeur locative doit être supprimée. |
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Questions à propos de Politique économique, impôts & finances publiques | ||||||
73 |
L’ imposition forfaitaire de contribuables étrangers fortunés doit être interdite en Suisse. |
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March 2020 Commentaires sur
Corona-Virus: Wir testen zurzeit ein Pascal-Zitat!
Selbstverständlich gibt es Nachteile des Lockdown. Diese werden von den Mainstream-Medien auch immer wieder herausgestrichen. Es gibt aber auch Vorteile (siehe oben).
Corona-Virus: Wir testen zurzeit ein Pascal-Zitat!
Selbstverständlich gibt es Nachteile des Lockdown. Diese werden von den Mainstream-Medien auch immer wieder herausgestrichen. Es gibt aber auch Vorteile (siehe oben).

March 2020 Commentaires sur
Schengen/Dublin funktioniert nicht!
Im Jahre 2005 hat das Schweizer Volk dem Beitritt zum Schengen/Dublin-Assoziierungsabkommen zugestimmt. Der Souverän hat
damals gehofft, dass die Schweiz mit diesem Regelwerk das Asylchaos in einigermassen überschaubare Bahnen lenken könne.
Bundesbern trickste damals aber im
höchsten Masse, fabulierte von der
«sicheren» Schengen-Aussengrenze
und bezifferte die jährlichen Kosten
auf 7,4 Millionen Schweizerfranken.
Heute ist die Schengen-Aussengrenze
löchriger als ein Schweizer
Käse – denn die Sicherung ist de
facto inexistent.
Die im Abstimmungsbüchlein genannten jährlich wiederkehrenden
Kosten von 7,4 Millionen Franken stiegen
bis im Jahre 2015 auf rund 100 Millionen Franken
und dürften sich heute auf etwa 120 Millionen Franken
belaufen. Exakte Zahlen sucht man vergebens, und Bundesbern
ist offensichtlich nicht bereit, diese korrekt zu
erheben und zu publizieren. Auf eine Interpellation der
SVP vom März 2018 mit dem Titel «Vollkostenrechnung
für das Schengen/Dublin-Abkommen» hält der Bundesrat
in seiner Stellungnahme wörtlich fest: «Es liegt keine
Schätzung der Kosten in Verbindung mit dem Verfahren
zur Übernahme und Umsetzung der Weiterentwicklungen
des Schengen/Dublin-Besitzstands vor.» Daraus ist
zu schliessen, dass Bundesbern im Bereich von Schengen/
Dublin vollends im Blindflugmodus unterwegs ist.
Man weiss offenbar nicht, wohin die Reise geht, wirft
aber dafür jede Menge Geld aus dem Fenster.
Dem Volk wurde im Abstimmungskampf vorgegaukelt,
dass jener Staat das Asylgesuch prüfen muss, in dem ein
Asylsuchender erstmals Schengen-Boden betritt. Zudem
hat der Souverän im Jahre 2006 die sogenannte Drittstaatenregelung
in der Asylrechts-Revision angenommen
– und somit wird die Einreise aus einem sicheren Drittstaat
zu einem klaren Ausschaffungsgrund.
Würde dieses Vorgehen angewendet, so hätten wir in der
Schweiz keinen einzigen Asylbewerber, weil wir durchwegs
von sicheren Drittstaaten umgeben sind und sämtliche
Flüchtlinge zurückweisen könnten. Jüngst haben
der frühere italienische Innenminister Matteo Salvini
und der ungarische Ministerpräsident Viktor Orbán versucht,
die Regeln von Schengen/Dublin einzuhalten, und
sie wurden dafür von der Brüsseler EU-Diktatur als üble
Schurken tituliert. Dass Italien unter den Migrationsströmen
übermässig zu leiden hat, ist in Anbetracht der
langen Schengen-Aussengrenze offensichtlich. Und was
Ungarn betrifft, so sind die unhaltbaren Vorwürfe an
Viktor Orbán reines Ablenkungsmanöver, zumal er sich
exakt an den Wortlaut von Schengen/Dublin hält.
Wer über die Türkei flüchtet, betritt erstmals in Griechenland
den Schengen-Raum und müsste dort registriert
werden. Viele Migranten wollen dies jedoch
nicht, sie verlassen Griechenland und somit den Schengen-
Raum, um dann über verschiedene Nicht-EU-Staaten
in Ungarn erneut und ein zweites Mal in den Schengen-
Raum einzureisen.
Zurück nach Italien. Nachdem Innenminister Salvini
nun ausgebootet worden ist, fühlt sich die europaweite
Gutmenschenfraktion in ihrer Absicht bestätigt, die
Fluchtrouten über das Mittelmeer zu intensivieren. So
hat zum Beispiel Carola Rackete, die fragwürdige Kapitänin
des Seerettungsschiffes «Sea-Watch 3», in einer
deutschen TV-Sendung die Forderung aufgestellt, dass
Deutschland eine halbe Million Migranten aus Libyen
sowie Millionen von Klimaflüchtlingen (was auch immer
das sein soll – Anmerkung d. Verfassers) aufnehmen
solle. Und aktuell vom Italiener Matteo Salvini befreit,
haben die Innenminister von Deutschland, Frankreich,
Italien und Malta eine Einigung zur systematischen
Verteilung von geretteten Flüchtlingen erzielt und
sprechen bei diesem Griff in die Trickkiste von einem
Notfallmechanismus.
Diese vier Länder hebeln das Assoziierungsbkommen
mit dem Segen der EU einfach mal aus und fordern von
den anderen Staaten ohne Widerspruch absolute Solidarität.
Auch von der Schweiz. Diejenigen, welche zusätzliche
Migranten aufnahmen, werden euphorisch als
«Koalition der Willigen» bezeichnet, was im Umkehrschluss
bedeutet, wer nicht bereit ist, weitere Flüchtlinge
aufzunehmen und sich an den Wortlaut des Assoziierungsabkommens
haltet, zwangsläufig ein unwilliger
Schurke ist.
Markus Melzl in Schweizerzeit Nr.20/2019, 25.10.2019
Schengen/Dublin funktioniert nicht!
Im Jahre 2005 hat das Schweizer Volk dem Beitritt zum Schengen/Dublin-Assoziierungsabkommen zugestimmt. Der Souverän hat
damals gehofft, dass die Schweiz mit diesem Regelwerk das Asylchaos in einigermassen überschaubare Bahnen lenken könne.
Bundesbern trickste damals aber im
höchsten Masse, fabulierte von der
«sicheren» Schengen-Aussengrenze
und bezifferte die jährlichen Kosten
auf 7,4 Millionen Schweizerfranken.
Heute ist die Schengen-Aussengrenze
löchriger als ein Schweizer
Käse – denn die Sicherung ist de
facto inexistent.
Die im Abstimmungsbüchlein genannten jährlich wiederkehrenden
Kosten von 7,4 Millionen Franken stiegen
bis im Jahre 2015 auf rund 100 Millionen Franken
und dürften sich heute auf etwa 120 Millionen Franken
belaufen. Exakte Zahlen sucht man vergebens, und Bundesbern
ist offensichtlich nicht bereit, diese korrekt zu
erheben und zu publizieren. Auf eine Interpellation der
SVP vom März 2018 mit dem Titel «Vollkostenrechnung
für das Schengen/Dublin-Abkommen» hält der Bundesrat
in seiner Stellungnahme wörtlich fest: «Es liegt keine
Schätzung der Kosten in Verbindung mit dem Verfahren
zur Übernahme und Umsetzung der Weiterentwicklungen
des Schengen/Dublin-Besitzstands vor.» Daraus ist
zu schliessen, dass Bundesbern im Bereich von Schengen/
Dublin vollends im Blindflugmodus unterwegs ist.
Man weiss offenbar nicht, wohin die Reise geht, wirft
aber dafür jede Menge Geld aus dem Fenster.
Dem Volk wurde im Abstimmungskampf vorgegaukelt,
dass jener Staat das Asylgesuch prüfen muss, in dem ein
Asylsuchender erstmals Schengen-Boden betritt. Zudem
hat der Souverän im Jahre 2006 die sogenannte Drittstaatenregelung
in der Asylrechts-Revision angenommen
– und somit wird die Einreise aus einem sicheren Drittstaat
zu einem klaren Ausschaffungsgrund.
Würde dieses Vorgehen angewendet, so hätten wir in der
Schweiz keinen einzigen Asylbewerber, weil wir durchwegs
von sicheren Drittstaaten umgeben sind und sämtliche
Flüchtlinge zurückweisen könnten. Jüngst haben
der frühere italienische Innenminister Matteo Salvini
und der ungarische Ministerpräsident Viktor Orbán versucht,
die Regeln von Schengen/Dublin einzuhalten, und
sie wurden dafür von der Brüsseler EU-Diktatur als üble
Schurken tituliert. Dass Italien unter den Migrationsströmen
übermässig zu leiden hat, ist in Anbetracht der
langen Schengen-Aussengrenze offensichtlich. Und was
Ungarn betrifft, so sind die unhaltbaren Vorwürfe an
Viktor Orbán reines Ablenkungsmanöver, zumal er sich
exakt an den Wortlaut von Schengen/Dublin hält.
Wer über die Türkei flüchtet, betritt erstmals in Griechenland
den Schengen-Raum und müsste dort registriert
werden. Viele Migranten wollen dies jedoch
nicht, sie verlassen Griechenland und somit den Schengen-
Raum, um dann über verschiedene Nicht-EU-Staaten
in Ungarn erneut und ein zweites Mal in den Schengen-
Raum einzureisen.
Zurück nach Italien. Nachdem Innenminister Salvini
nun ausgebootet worden ist, fühlt sich die europaweite
Gutmenschenfraktion in ihrer Absicht bestätigt, die
Fluchtrouten über das Mittelmeer zu intensivieren. So
hat zum Beispiel Carola Rackete, die fragwürdige Kapitänin
des Seerettungsschiffes «Sea-Watch 3», in einer
deutschen TV-Sendung die Forderung aufgestellt, dass
Deutschland eine halbe Million Migranten aus Libyen
sowie Millionen von Klimaflüchtlingen (was auch immer
das sein soll – Anmerkung d. Verfassers) aufnehmen
solle. Und aktuell vom Italiener Matteo Salvini befreit,
haben die Innenminister von Deutschland, Frankreich,
Italien und Malta eine Einigung zur systematischen
Verteilung von geretteten Flüchtlingen erzielt und
sprechen bei diesem Griff in die Trickkiste von einem
Notfallmechanismus.
Diese vier Länder hebeln das Assoziierungsbkommen
mit dem Segen der EU einfach mal aus und fordern von
den anderen Staaten ohne Widerspruch absolute Solidarität.
Auch von der Schweiz. Diejenigen, welche zusätzliche
Migranten aufnahmen, werden euphorisch als
«Koalition der Willigen» bezeichnet, was im Umkehrschluss
bedeutet, wer nicht bereit ist, weitere Flüchtlinge
aufzunehmen und sich an den Wortlaut des Assoziierungsabkommens
haltet, zwangsläufig ein unwilliger
Schurke ist.
Markus Melzl in Schweizerzeit Nr.20/2019, 25.10.2019

February 2020 Commentaires sur
NEIN zum Zensurgesetz: Toleranz nicht staatlich verordnen!
NEIN zum Zensurgesetz: Die Schweiz braucht kein Zensurgesetz!
Pragmatische Kräfte, die über genügend Selbstbewusstsein verfügen und für ein Miteinander plädieren, erkennen die Gefahren von Gesetzen, welche die Meinungsäusserungsfreiheiten einschränken. Auch sie fragen sich, ob die drohenden Klagewellen und die damit verbundene Verunsicherung der Bevölkerung nicht zuletzt der Akzeptanz homo- und bisexueller Menschen in unserer Gesellschaft schaden würden. Denn das kann nicht der Sinn einer neuen Strafnorm sein.
Das Zensurgesetz gibt vor, nur “Hassrede” unter Strafe zu stellen.. Wo die Grenzen der Meinungsfreiheit genau enden sollen, ist dabei rechtlich kaum fassbar. Die bisherigen Erfahrungen mit der Rassismus-Strafnorm haben gezeigt, dass der Staat Gefahr läuft, diese Grenzen willkürlich auszulegen. Alles, was auch nur in die Nähe einer Gesinnungsjustiz kommt, ist für eine Demokratie aber brandgefährlich!
Diverse Staaten kennen bereits Gesetze, welche die “Diskriminierung aufgrund der sexuellen Orientierung” unter Strafe stellen. Die damit gesammelten Erfahrungen – Beispiele einsehbar unter www.zensurgesetz-nein.ch/erfahrungen-ausland - geben Aufschluss darüber, welch seltsame Blüten diese Strafnormen treiben… Absolut unverhältnismässig und über das Ziel hinausgeschossen: Das wollen wir nicht in der Schweiz!
Weitere Infos: www.zensurgesetz-nein.ch
NEIN zum Zensurgesetz: Toleranz nicht staatlich verordnen!
NEIN zum Zensurgesetz: Die Schweiz braucht kein Zensurgesetz!
Pragmatische Kräfte, die über genügend Selbstbewusstsein verfügen und für ein Miteinander plädieren, erkennen die Gefahren von Gesetzen, welche die Meinungsäusserungsfreiheiten einschränken. Auch sie fragen sich, ob die drohenden Klagewellen und die damit verbundene Verunsicherung der Bevölkerung nicht zuletzt der Akzeptanz homo- und bisexueller Menschen in unserer Gesellschaft schaden würden. Denn das kann nicht der Sinn einer neuen Strafnorm sein.
Das Zensurgesetz gibt vor, nur “Hassrede” unter Strafe zu stellen.. Wo die Grenzen der Meinungsfreiheit genau enden sollen, ist dabei rechtlich kaum fassbar. Die bisherigen Erfahrungen mit der Rassismus-Strafnorm haben gezeigt, dass der Staat Gefahr läuft, diese Grenzen willkürlich auszulegen. Alles, was auch nur in die Nähe einer Gesinnungsjustiz kommt, ist für eine Demokratie aber brandgefährlich!
Diverse Staaten kennen bereits Gesetze, welche die “Diskriminierung aufgrund der sexuellen Orientierung” unter Strafe stellen. Die damit gesammelten Erfahrungen – Beispiele einsehbar unter www.zensurgesetz-nein.ch/erfahrungen-ausland - geben Aufschluss darüber, welch seltsame Blüten diese Strafnormen treiben… Absolut unverhältnismässig und über das Ziel hinausgeschossen: Das wollen wir nicht in der Schweiz!
Weitere Infos: www.zensurgesetz-nein.ch

February 2020 Commentaires sur
NEIN zum Zensurgesetz: Gefahr der Selbstzensur
NEIN zum Zensurgesetz: Ausgrenzung erhöht Radikalisierungsrisiken.
Wer sich aus Unsicherheit oder einem Ohnmachtsgefühl heraus gezwungen sieht, sich aus demokratischen Debatten zu verabschieden und zu isolieren, läuft viel eher Gefahr, sich zu radikalisieren, als wenn die Meinungsfreiheit nicht unterdrückt wird. Da er sich von argumentativen Auseinandersetzungen ausgeschlossen fühlt, sieht er sich in eine Opferrolle gedrängt und baut eine innere Abwehrhaltung auf, die sich viel eher in purem Hass oder gar Gewalt entlädt, als wenn diese Person in den demokratischen Kontext integriert geblieben wäre. Von daher können Rechtsbestimmungen, die bestimmte Meinungsäusserungen unter Strafe stellen, sogar kontraproduktiv sein: Das Diskriminierungspotenzial wird nicht beseitigt, sondern vergrössert sich.
NEIN zum Zensurgesetz: Gefahr der Selbstzensur
NEIN zum Zensurgesetz: Ausgrenzung erhöht Radikalisierungsrisiken.
Wer sich aus Unsicherheit oder einem Ohnmachtsgefühl heraus gezwungen sieht, sich aus demokratischen Debatten zu verabschieden und zu isolieren, läuft viel eher Gefahr, sich zu radikalisieren, als wenn die Meinungsfreiheit nicht unterdrückt wird. Da er sich von argumentativen Auseinandersetzungen ausgeschlossen fühlt, sieht er sich in eine Opferrolle gedrängt und baut eine innere Abwehrhaltung auf, die sich viel eher in purem Hass oder gar Gewalt entlädt, als wenn diese Person in den demokratischen Kontext integriert geblieben wäre. Von daher können Rechtsbestimmungen, die bestimmte Meinungsäusserungen unter Strafe stellen, sogar kontraproduktiv sein: Das Diskriminierungspotenzial wird nicht beseitigt, sondern vergrössert sich.

February 2020 Commentaires sur
NEIN zum Zensurgesetz: Gefahr der Selbstzensur
NEIN zum Zensurgesetz: Sexuelle Minderheiten werden bereits geschützt.
Angehörige sexueller Minderheiten werden bereits auf vielfältige Weise gesetzlich geschützt. Sie geniessen den gleichen Schutz wie alle anderen Bürger*innen auch. Zusätzliche Gesetze würden nicht den Schutz von Personen verbessern, sondern wären dazu geeignet, die freie Debatte über gesellschaftlich relevante und umstrittene Themen zu beschneiden. Es würden Tabus geschaffen, die nicht der Konfliktlösung dienen, sondern diese im gesellschaftlichen Untergrund gären liessen.
Was die sogenannte Diskriminierung aufgrund der sexuellen Orientierung betrifft, weiss heute noch niemand genau, welche Meinungsäusserungen Richter dereinst konkret als diskriminierend auslegen werden.
NEIN zum Zensurgesetz: Gefahr der Selbstzensur
NEIN zum Zensurgesetz: Sexuelle Minderheiten werden bereits geschützt.
Angehörige sexueller Minderheiten werden bereits auf vielfältige Weise gesetzlich geschützt. Sie geniessen den gleichen Schutz wie alle anderen Bürger*innen auch. Zusätzliche Gesetze würden nicht den Schutz von Personen verbessern, sondern wären dazu geeignet, die freie Debatte über gesellschaftlich relevante und umstrittene Themen zu beschneiden. Es würden Tabus geschaffen, die nicht der Konfliktlösung dienen, sondern diese im gesellschaftlichen Untergrund gären liessen.
Was die sogenannte Diskriminierung aufgrund der sexuellen Orientierung betrifft, weiss heute noch niemand genau, welche Meinungsäusserungen Richter dereinst konkret als diskriminierend auslegen werden.

February 2020 Commentaires sur
NEIN zum Zensurgesetz: Gefahr der Selbstzensur
NEIN zum Zensurgesetz: Fragwürdige Erweiterungen in der Warteschleife
Auch die Gesamtentwicklung im Bereich des Diskriminierungsschutzes darf nicht ausser Acht gelassen werden. So steht die gewichtige Frage im Raum: Welchen Gruppen wird als nächstes ein eigener gesetzlicher Schutz-Status zugestanden? Grundsätzlich könnten alle Menschen mit bestimmten Merkmalen, und seien sie noch so subjektiv eingefärbt, Rechtsansprüche auf einen Diskriminierungsschutz anmelden: also beispielsweise Diskriminierungsschutz aufgrund einer bestimmten Sprache, Altersgruppe, Haarfarbe, Raucher, Oldtimer-Vereine. Das Recht würde sich so komplett vom Realitätsprinzip verabschieden und zu Rechtsunsicherheit führen – die Büchse der Pandora wäre geöffnet.
NEIN zum Zensurgesetz: Gefahr der Selbstzensur
NEIN zum Zensurgesetz: Fragwürdige Erweiterungen in der Warteschleife
Auch die Gesamtentwicklung im Bereich des Diskriminierungsschutzes darf nicht ausser Acht gelassen werden. So steht die gewichtige Frage im Raum: Welchen Gruppen wird als nächstes ein eigener gesetzlicher Schutz-Status zugestanden? Grundsätzlich könnten alle Menschen mit bestimmten Merkmalen, und seien sie noch so subjektiv eingefärbt, Rechtsansprüche auf einen Diskriminierungsschutz anmelden: also beispielsweise Diskriminierungsschutz aufgrund einer bestimmten Sprache, Altersgruppe, Haarfarbe, Raucher, Oldtimer-Vereine. Das Recht würde sich so komplett vom Realitätsprinzip verabschieden und zu Rechtsunsicherheit führen – die Büchse der Pandora wäre geöffnet.

January 2020 Commentaires sur
NEIN zur Änderung der Rassismus-Strafnorm
NEIN zum Zensurgesetz: Problematik der Rassismus-Strafnorm
Art. 261bis StGB dient nicht der Unterbindung von Ehrverletzungsdelikten gegenüber konkreten Personen oder Personengruppen – wovor alle Bewohner*innen der Schweiz bereits heute in gleicher Weise geschützt sind -, sondern von allgemein gehaltener Kritik an den Gruppen, die einen strafrechtlichen Sonderschutz geniessen.
Seit ihrer Einführung ist diese Strafnorm höchst umstritten – gerade auch, weil sie naturgemäss von politischer Natur ist. Kritiker*innen bemängeln, dass es bei vergangenen Urteilen mitunter nicht um die Bekämpfung von Rassendiskriminierung ging, sondern um die Aburteilung pointierter Meinungsäusserungen zu Migrationsthemen.
NEIN zur Änderung der Rassismus-Strafnorm
NEIN zum Zensurgesetz: Problematik der Rassismus-Strafnorm
Art. 261bis StGB dient nicht der Unterbindung von Ehrverletzungsdelikten gegenüber konkreten Personen oder Personengruppen – wovor alle Bewohner*innen der Schweiz bereits heute in gleicher Weise geschützt sind -, sondern von allgemein gehaltener Kritik an den Gruppen, die einen strafrechtlichen Sonderschutz geniessen.
Seit ihrer Einführung ist diese Strafnorm höchst umstritten – gerade auch, weil sie naturgemäss von politischer Natur ist. Kritiker*innen bemängeln, dass es bei vergangenen Urteilen mitunter nicht um die Bekämpfung von Rassendiskriminierung ging, sondern um die Aburteilung pointierter Meinungsäusserungen zu Migrationsthemen.

January 2020 Commentaires sur
NEIN zur Änderung der Rassismus-Strafnorm
NEIN zum Zensurgesetz: Brennpunkt “Leistungsverweigerung”
Zwischen Staat und Bürger*innen gilt etwas als Diskriminierung, wenn der Staat eine willkürliche, sachlich nicht begründete Ungleichbehandlung vornimmt. Gemäss dem Grundsatz: Gleiches ist gleich, Ungleiches ist ungleich zu behandeln. Von den Bürger*innen aber kann nicht verlangt werden, dass sie alle Ungleichbehandlungen mit sachlichen Gründen rechtfertigen. Hinzu kommt, dass es wiederum eine Frage der Interpretation ist, welche Gründe als sachlich gelten können, und welche nicht. Dies gilt insbesondere bei Gewissensvorbehalten, die zum Beispiel bei der Frage relevant sind, ob ein Bäcker künftig dazu gezwungen werden können soll, eine Hochzeitstorte für ein gleichgeschlechtliches Paar anzufertigen. Richter über die Sachlichkeit von Gewissensvorbehalten entscheiden zu lassen, wo es nicht um die Erbringung von staatlichen Leistungen geht, sondern um die Beziehungen zwischen Privaten, ist brandgefährlich.
Es kann für Einzelpersonen und Personengruppen – wenn die Freiheit aufrechterhalten werden soll – keinen Rechtsanspruch darauf geben, von Privaten gleich behandelt zu werden. Die vorliegend diskutierte Strafnorm geht in Richtung Vereinigungszwang und ist deswegen zutiefst antiliberal. Sie suggeriert, dass Ungleichbehandlung unter Bürger*innen stets Ausdruck einer hasserfüllten, menschenverachtenden Gesinnung sind, was offenkundig nicht zutrifft.
Betreiber eines christlichen Hotels, das in der Hausordnung stehen hat, Doppelzimmer nur an verheiratete heterosexuelle Paare zu vermieten, käme ins Visier der Justiz. Auch die Betreiber eines privaten Adoptionsdienstes würden vor die Alternative gestellt, entweder Kinder auch an verheiratete gleichgeschlechtliche Paare zu vermitteln, oder aber ihre Dienste einzustellen. Ihre Überzeugung, dass Kinder am besten bei einem Vater und einer Mutter aufgehoben sind, würde somit indirekt kriminalisiert. Das ist gegen jede Freiheit, die nicht nur darin besteht, dass jeder tun kann, was er will. Insbesondere umfasst der Freiheitsbegriff auch, nicht tun zu müssen, was man nicht will.
Es geht bei der beschlossenen Gesetzesreform also nicht um einen notwendigen Schutz bedrohter Personengruppen, sondern um ein gefährliches Instrument in den Händen von Interessengruppen, die politische oder weltanschauliche Ansichten aus dem demokratischen Diskurs verdrängen und das Verhalten aller Bürger*innen auf ihre ideologische Linie zwingen könnten.
NEIN zur Änderung der Rassismus-Strafnorm
NEIN zum Zensurgesetz: Brennpunkt “Leistungsverweigerung”
Zwischen Staat und Bürger*innen gilt etwas als Diskriminierung, wenn der Staat eine willkürliche, sachlich nicht begründete Ungleichbehandlung vornimmt. Gemäss dem Grundsatz: Gleiches ist gleich, Ungleiches ist ungleich zu behandeln. Von den Bürger*innen aber kann nicht verlangt werden, dass sie alle Ungleichbehandlungen mit sachlichen Gründen rechtfertigen. Hinzu kommt, dass es wiederum eine Frage der Interpretation ist, welche Gründe als sachlich gelten können, und welche nicht. Dies gilt insbesondere bei Gewissensvorbehalten, die zum Beispiel bei der Frage relevant sind, ob ein Bäcker künftig dazu gezwungen werden können soll, eine Hochzeitstorte für ein gleichgeschlechtliches Paar anzufertigen. Richter über die Sachlichkeit von Gewissensvorbehalten entscheiden zu lassen, wo es nicht um die Erbringung von staatlichen Leistungen geht, sondern um die Beziehungen zwischen Privaten, ist brandgefährlich.
Es kann für Einzelpersonen und Personengruppen – wenn die Freiheit aufrechterhalten werden soll – keinen Rechtsanspruch darauf geben, von Privaten gleich behandelt zu werden. Die vorliegend diskutierte Strafnorm geht in Richtung Vereinigungszwang und ist deswegen zutiefst antiliberal. Sie suggeriert, dass Ungleichbehandlung unter Bürger*innen stets Ausdruck einer hasserfüllten, menschenverachtenden Gesinnung sind, was offenkundig nicht zutrifft.
Betreiber eines christlichen Hotels, das in der Hausordnung stehen hat, Doppelzimmer nur an verheiratete heterosexuelle Paare zu vermieten, käme ins Visier der Justiz. Auch die Betreiber eines privaten Adoptionsdienstes würden vor die Alternative gestellt, entweder Kinder auch an verheiratete gleichgeschlechtliche Paare zu vermitteln, oder aber ihre Dienste einzustellen. Ihre Überzeugung, dass Kinder am besten bei einem Vater und einer Mutter aufgehoben sind, würde somit indirekt kriminalisiert. Das ist gegen jede Freiheit, die nicht nur darin besteht, dass jeder tun kann, was er will. Insbesondere umfasst der Freiheitsbegriff auch, nicht tun zu müssen, was man nicht will.
Es geht bei der beschlossenen Gesetzesreform also nicht um einen notwendigen Schutz bedrohter Personengruppen, sondern um ein gefährliches Instrument in den Händen von Interessengruppen, die politische oder weltanschauliche Ansichten aus dem demokratischen Diskurs verdrängen und das Verhalten aller Bürger*innen auf ihre ideologische Linie zwingen könnten.
